C'était un soir, je faisais à manger et ma chérie rentrait une fois de plus très tard du boulot. Pas grave : cela me laissait un peu de temps seul pour prendre une douche, faire une petite partie de playstation (va vraiment falloir que je grandisse !) et préparer à manger pour le retour de ma belle. La douche prise et la manette reposée, je me suis mis à cuisiner : rien de bien extraordinaire, juste un dîner amélioré, histoire de changer du quotidien. 22h00, elle arrive enfin. Petit bisou tendre, elle vient dans mes bras. Elle me quitte aussitôt pour aller se changer et enfiler quelque chose de plus confortable. En guise de vêtement plus confortable, elle a mis une nuisette et enlevé son soutien-gorge : faire la cuisine sérieusement va m'être difficile !

Elle reste avec moi dans la cuisine, s'assoit sur un tabouret et discute avec moi. Elle est irrésistible ainsi vêtue : elle a de la suite dans les idées, enfin c'est ce que je pense. On verra après manger si elle a envie d'autres choses. Elle s'ouvre un coca, le boit doucement. Elle pose sa canette sur le plan de travail et ouvre le frigo en quête d'un truc à grignoter. Naturellement rien ne lui plait, elle referme le frigo et réussi à faire tomber sa canette par terre. Résultat : du coca partout, une jolie marre brune sur le carrelage tout propre : comme c'est sucré, ça va coller par terre.

Pas terrible, alors naturellement je m'énerve, elle a envie d'éviter l'engueulade, se précipite sur une éponge et commence à ramasser. Elle est accroupie, j'ai une vue magnifique sur les fesses qui me font vibrer depuis plusieurs années maintenant. En plus cette coquine ne porte pas de culotte, juste un minuscule string. La tentation et le désir prennent le pas sur la réflexion : j'ai envie d'elle maintenant, de lui prodiguer des caresses et d'en recevoir. Mais bon, je traîne sur les forums fessée depuis trop longtemps et c'est de lui donner la fessée que j'ai envie avant tout !

Elle ramasse consciencieusement les dégâts sur le carrelage, je relève la nuisette doucement et lui met une claque sur la fesse gauche : pas très appuyée, juste assez pour qu'elle comprenne ce que j'ai envie de faire. Je lui dit : "Je vais devoir sévir si tu continues à faire des bêtises comme ça". Et elle me répond : "Tu devrais me punir".

La phrase magique ! Depuis le temps que j'en ai envie, lui faire rougir son popotin, la consoler ensuite et l'aimer pour finir. Mais bon, je reste calme ! "Oui je vais te punir, mais pas tant que tu auras le ventre vide". Elle me répond par un sourire qui en dit long. On fera l'amour, c'est sûr, je vois qu'elle en a envie, mais avant on fera autre chose ! Nous avons mangé sans vraiment discuter. Elle prenant plaisir à m'appeler par mon prénom, un peu comme pour mettre de la distance entre nous. A la fin du repas nous avons discuté de choses sans rapports avec ce que nous allions faire, cela a duré un petit moment. Je me suis levé de table, assis sur le canapé, je l'ai interrompu alors qu'elle me parlait. "Maintenant viens t'allonger sur mes genoux". Elle n'a pas bronché, pris ce petit regard triste qui me fait craquer, s'est approché de moi. "Baisse ton string aussi". Elle a essayé de se défiler, mollement, histoire de me donner l'impression de résister, je lui ai fait les gros yeux et elle s'est installée sur mes genoux, un peu craintive, se demandant si je jouais ou si je ne jouais pas.

Elle s'est allongée en travers de mes genoux, le string roulé sur les cheville. J'ai relevé doucement sa nuisette, faisant glisser lentement le tissus sur ses fesses et le remontant jusque sur ses hanches.

Vision panoramique ! Pour moi ça vaut beaucoup de paysages, je trouve qu'il n'y a rien de plus joli à contempler que les fesses de ma miss, surtout quand elle est allongée en travers de mes genoux !

C'est le bruit de ma main claquant son derrière qui a déchiré le silence ambiant. J'ai commencé par la fesse gauche et j'ai alterné. Je serai incapable de dire combien de temps la fessée a pu durer. Au bout d'un moment ma chérie a commencer à se débattre, à se plaindre, mais jamais avec véhémence. J'ai dû lui maintenir le bras et j'en ai rajouté sous le prétexte qu'elle devait être sage, même pendant la fessée !

J'ai arrêté de lui donner des claques sur les fesses quand celles-ci ont commencé à rougir. Je ne voulais pas aller trop loin, je ne savais pas jusqu'où je pouvais aller et puis je voulais que ça se finisse par un câlin, et si possible un gros. Curieusement on s'est retrouvé un peu cons, elle sur mes genoux, les fesses toutes rouges, moi surexcité par le moment que l'on venait de vivre. Il y a eu un léger temps de flottement où nous ne savions plus quoi faire ! Des larmes perlaient sur ses joues.

Je l'ai pris dans mes bras et emmené dans la chambre, je l'ai allongé sur le lit et j'ai prodigué les premiers soins (pas ceux auxquels vous pensez bande de vilains !). Un peu de crème sur les fesses, appliquée avec douceur. Nous avons terminé par le fameux câlin auquel je pensais depuis le début de la soirée. Il fut gros, très gros, énorme même !

petit filou

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